Avant toute chose, on aime la musique.
Ça sonne candide. Pourtant on insiste : c’est vrai.

Concrètement, on la côtoie, on la pratique, on l’admire, on la commente, on la partage.
Elle nous transporte.
Bref. On l’aime.

On croit à son pouvoir de séduction.
On croit aux coups de cœur, aux déclics.
On croit à l’émotion qui surprend, aux yeux écarquillés, au pouls qui s’emballe.
On croit au miracle du live, à la beauté brillante des enregistrements, au répertoire qu’on revisite, aux œuvres qu’on ressuscite.

Enfin, on croit qu’il y a, dans le mystère de la découverte, quelque chose de l’ordre de l’inexplicable, une intrigante magie.
Un peu de celle qui infuse dans les philtres d’amour, et provoque le coup de foudre.

En créant le philtre, nous avons imaginé une agence qui aiderait les artistes à diffuser plus largement la musique qu’ils font vivre, et à trouver (et toucher) de nouveaux publics.

Les artistes doivent aujourd’hui tout faire à la fois : créer, répéter, communiquer, imaginer, trouver des financements, singulariser leurs projets, et défendre leur répertoire.

On admire ces passionné(e)s, ces aventurier(e)s de nouveaux horizons d’interprétation ou de répertoire, qui ne vénèrent pas les cendres des compositeurs et compositrices mais transmettent leur flamme.

En prenant en charge leur communication, notre agence entend leur permettre de se concentrer sur ce qu’ils font de mieux et de plus beau : la musique.

Par la place qu’elle occupe dans nos vies, impossible de la considérer comme un simple produit à vendre. Communiquer autour de la musique ne peut pas se résumer à de la réclame ou des slogans publicitaires.

Dans ce domaine, on préfère créer des contenus originaux, trouver des idées qui font mouche, et donnent envie de les regarder et de les partager.
On préfère adapter nos communications à leurs cibles, parce qu’on sait qu’il existe autant de spectateurs que de sensibilités.

Qu’on s’adresse au grand public, aux mélomanes enthousiastes, aux journalistes spécialisés, aux publics éloignés, aux assoiffés de concerts, aux grincheux, aux curieux, aux effrayés, on croit qu’il y a toujours quelque chose à imaginer. Et quelque chose à déclencher.

Cela ne nous empêche pas de viser des résultats toujours ambitieux, mais on préfère susciter l’émotion plutôt que faire gonfler des chiffres.

Enfin, pour tout vous dire, on n’aime pas vraiment quand la musique classique se promeut par les stéréotypes qu’on lui colle.
On n’est pas blasés : on préfère simplement penser par-delà les clichés.
On n’a pas peur des hybridations.
On croit bien sûr aux goûts et aux couleurs, mais on aime aussi oser, surtout pour défendre ce qui en vaut la peine.

Ni passéistes, ni vendeurs de lessive, on croit surtout qu’il n’y a rien de plus important que le partage. Voilà ce qu’est le philtre, en quelques mots. Si le cœur vous en dit, vous êtes ici chez vous.